Une autre exception dans les années 47/48, avec Hardy les Gars, magazine d'aventures qui publie des histoires à suspense assez courtes où les femmes, point sottes et bien roulées, arborant sans exception une magnifique chevelure dont nulle aventure ne pourra déranger le brushing, osent prendre une place importante dans l'action, comme par exemple la blonde et fraîche Sybille dans "Cagliostro contre les sept".
Yves le Loup, superbement dessiné par Bastard rencontre bien quelques belles princesses ou enchanteresses du côté de Brocéliande, mais de façon si fugace qu'il nous laisse sur notre faim (3).
|
On ne risque pas de |
Est-ce pour ne pas risquer d'ôter une seule miette des mérites du héros, qu'Hergé n'a fait rencontrer à Tintin que des femmes inexistantes ou bien trop présentes ? Ou réglait-il ainsi son compte avec le sexe dit faible ? Mystère !